Autant être clair dès le départ,
Free Time, le premier opus de
Maps and Diagrams, n'a rien d'extraordinaire et ne révolutionnera pas le monde de l'electronica actuelle.
Transparancies on Film qui débute l'album est très hypnotique avec des passages ambiant répétés 36000 fois pour scotcher l'auditeur à son siège et surtout à son casque. Même recette pour les deux titres suivants sauf que du click'n'cut se rajoute parfaitement bien aux mélodies imposés par Tim Martin.
Nous arrivons au meilleur morceau de
Free Time avec
Ideol, une soft electronica douce et harmonieuse que l'on s'écouterait en boucle tout comme l'excellent
Djur Hours, click'n'cut saupoudré d'une electronica mélodieuse et une fois de plus, hypnotique.
Il est clair que l'album reste très expérimental et pas très facile d'accès pour un auditeur non-habitué à ce genre de son et que rien de magique ne s'en dégage mais chose sûre,
Free Time est doté d'une très bonne production et reste un album agréable à écouter dans toutes sortes de situations.
Chroniqué par
Pachouille
le 03/11/2003