On ne change pas une méthode qui marche, ARCANA l'a bien compris. Le style est identique en tout point aux précédents albums. Le son est quant à lui plus clair, plus limpide. Cloche, choeurs impressionants, envolées grâcieuses et rythme martial sur "... the last embrace", voix d'outre-tombe et grondements orchestraux durant "Hymn of absolute deceit", ou symphonie puissante et cinématographique avec "Diadema" et "Winds of the lost soul". "Love eternal" et "Repentance" transcendent les tympans, "March of loss" entraîne sur les champs de batailles. "The ascending of a new dawn" est un magnifique morceau, sombre et oppressant. "Sono la salva" et "Lorica vite" achèvent le disque sur un ton définitivement orchestral et glorieux.
Moins varié que ses deux prédécesseurs, "... the last embrace" reste néanmoins une référence pour les amateurs de grande musique.
Chroniqué par
Yragael
le 00/00/0000