Le nouveau Zenzile s’appelle Elements. Et parmi ses 9 morceaux, 9 poussières d’éléments, j’en retiens quatre :
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Dry, ballade instrumentale, récit onirique emporté ;
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Sequences et Stellar, où les influences krautrock pinkfloydiennes des Angevins sont plus qu’évidentes ;
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Presence, parce qu’un peu de voix vocodée peut être sympathique. On y reconnaît Electric Soul et on sautille gentiment.
Le reste est à chroniquer par un adepte de la pop, et je n’en suis pas. Parce que Zenzile copermute volontiers les bases de sa musique. Qu’après avoir été pilier de la scène électro-dub française – c’était il y a 20 ans… - le groupe a voulu, au fil des années, ne pas camper sur ses positions. Que post-punk, rock psychédélique et pop sont venus enrichir son univers, en constante évolution. C’est à ça qu’on reconnaît les grands.
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