Quel album... Un chef-d'oeuvre, sans aucun doute. Regroupant le meilleur des deux EP le précedant (
Uncomfortable questions for comfortable people &
Rhic-edom), ainsi que plusieurs nouvelles compositions,
The psychocivilized society est définitivement une pièce maîtresse dans la discographie de
Black Lung. Encore plus froid, plus sombre, plus puissant, mieux assemblé, meilleur son, moins long et répétitif etc...
Les quatre premiers morceaux sont des perles électroniques qu'il faut connaitre pour bien comprendre ce qu'est
Black Lung, puis jusqu'au titre 10, la violence monte crescendo et atteint son paroxysme pendant
Prema.
The club of smokers et
Hysteria invaria voguent entre les noirceurs d'atmosphères hermetiques, et l'hypnotisme hallucinant, provoqué par des grooves entêtants, aux sonorités quasi-organiques.
The hive 1 et 2 clôturent l'album en enfonçant le clou du glauque une bonne fois pour toute. Juste un point sur la pochette : devant, un tétard passé aux rayons x. Derrière, même chose, mais avec une grenouille. Ce n'est qu'un détail, mais il correspond parfaitement à l'ambiance générale du skeud. Il le renforce peut-être aussi.
Mettez un casque, fermez les yeux.
The psychocivilized society est tout simplement parfait. Hé ouais.
Chroniqué par
Yragael
le 00/00/0000
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